Programme 92 ans
24/04/1915 - 24/04/2007 = 92 ans de déni par la Turquie
Cette année, comme chaque année, les Arméniens défileront en mémoire de leurs morts mais également pour dénoncer cette politique négationnisme de l'Etat turc qui s'importe en Europe. Ils rendront également hommage à Hrant Dink, journaliste arménien de citoyenneté turque, assassiné le 19 janvier dernier par les ultranationlistes turcs pour avoir parlé du génocide.
PROGRAMME
21 et 22 avril 2007
=> 12 h 00 à 19 h 00 : D'un génocide à
l'autre : 1915 mains pour le Darfour.
Sur le Parvis de Notre-Dame de Paris, les
stèles de la vigilance arménienne contre le négationnisme et la stèle en
hommage à Hrant Dink feront face à une immense toile dressée pour témoigner
votre solidarité aux Darfouris en y apposant l'empreinte de vos mains.
22 avril 2007
=>15 h 00 : Messe de Requiem en la Cathédrale Notre Dame de Paris, sous la présidence de son Eminence le Cardinal Jean-Marie Lustiger, Archevêque émérite de Paris.
23 avril 2007
=>17 h 00 à 23 h 00
: Veillée organisée par les organisations de jeunesse arménienne sur le Parvis de Notre Dame de
Paris. Quatre stands (culture, génocide, négationnisme, stand participatif) et
animation artistique dont la Compagnie Yeraz ; prises de paroles.
=> 18 h 00 : Ravivage de la Flamme au Soldat Inconnu Arc de Triomphe, Place Charles de Gaulle Etoile - 75008 Paris.
24 avril 2007
=> 11 h 30 : Cérémonie à l'Hôtel
de Ville
Monsieur
Bertrand Delanoë, Maire de Paris, rendra hommage aux victimes du génocide
arménien de 1915, dans les salons de l'Hôtel de Ville (sur invitation
uniquement).
=> 15 h 00 : Messe de Requiem en la
Cathédrale Apostolique Arménienne, 15 rue Jean Goujon - 75008 Paris.
=> 17 h 00 : Rassemblement devant la Statue
de Komitas, Place du Canada - Cours Albert 1er - 75008 Paris (avec prises de
paroles) et manifestation en direction de l'ambassade de Turquie, avenue des
Champs-Elyzées
La commémoration du génocide arménien se fera dans le monde entier, là où se trouve des communautés arméniennes. Exemple en Italie: "Une tragedia che non parla"